Ce jeudi 17 avril à Paris a été diffusé en avant-première dans une salle archicomble le documentaire « Umoja, le village interdit aux hommes » réalisé par Jean-Marc Sainclair et Jean Crousillac sur des images de Maelenn Dujardin. Une leçon de vie et d’humilité.
Umoja, le village interdit aux hommes
Techniquement :
La visite de l’univers d’Umoja aurait sans doute mérité un grand angle, je suis resté frustré et un peu prisonnier de ce cadre trop restreint à mon goût. Le documentaire est parsemé de sons , de danses et de chants Samburu : on baigne dans une atmosphère « Umojienne » que la photo du film magnifie (aidée sans doute par une lumière naturelle africaine chaleureuse). Espèrons que cette lumière illumine suffisament le village d’Umoja et ses femmes pour qui rien n’est acquis. Une chose est sûre cependant : maintenant qu’elles ont goûté à la liberté, elle préfèrent mourrir plutôt que de revenir en arrière.
L’équipe de BackPack Productions a permis sur place à Rebecca Lolosoli de rencontrer de nombreuses ONG et la presse lors d’un somment à Nairobi. BackPack Productions aide depuis le village en vendant leur artisanat.
Site internet : Documentaire sur Umoja par BackPack Productions
C’est n’est ni un commentaire ni un trackball, c’est de la promo ? Bon, Je le laisse parce que c’est pour la bonne cause Mr Zdar 😉
Le DVD du documentaire est disponible.
Rendez-vous sur http://www.backpack-prod.com
Situé non-loin d’une base britannique d’entrainement militaire, Umoja est un village fondé par des femmes bafouées, victimes de viols des soldats britanniques et des hommes du peuple…Que justice soit faite, la colonisation est loin.
Bonjour
Très touchée par ce documentaire, suis psychologue, praticienne en relation d’aide et souhaiterai prendre contact avec la responsable du village, afin de rester quelques jours avec ces femmes que j’admire. Comment m’y prendre, qui dois je contacter, vers qui dois je me tourner. Merci de votre réponse
Cordialement
Annick BIBAUT
Bénévole dans une association ADE pour les femmes atteintes de fistules obstétricales, j’ai l’habitude du contact humain féminin. Mes interventions sont bénévoles et concernent le suivi psychologique des femmes ayant subi des actes de violence et la réinsertion. Mes actions sont essentiellement au Burkina Faso, mais sincèrement j’aimerai « parler » et « discuter » avec ces femmes kényane qui méritent qu’on s’intéresse à elles
Merci pour vos réponses
Très cordialement
Annick