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le bug de l’an 2000 le 28 février 2010 – Gamekult l’émission

Voici le nouvel opus de Gamekult l’émission que nous avons tourné lundi 1er mars 2010. Il est bon de temps en temps de remettre en place un plateau télé. Surtout que le notre sert à de nombreuses autres émissions. L’installation du plateau Gamekult a bougé ces derniers temps mais sans adaptation au niveau de la lumière et la colorimétrie : l’image en palit (plan surex, problème de couleurs, etc…). Sur cette émission que je réalise (sans ingé vision), je me suis attelé à remettre un peu d’ordre dans tout cela : un travail particulier a été fait sur la lumière et la photo afin de re-télégéniser le plateau. Concrètement, les visages sont plus lisses, moins contrastés et pas surexposés, ensuite les caméras se raccordent mieux entres elles et l’image à une couleur chaude (mais pas trop).

Pour ce qui est du programme cette semaine, je me suis délecté avec l’affaire du bug de la PS3 : Après la polémique Heavy Rain*, on peut se demander si Sony ne devrait pas se concentrer sur la fiabilité de leur console ! La plupart des PS3 a subi un bug (mondial) car son horloge interne a pétée les plombs: a priori, la console n’a pas pu passer le 28ème jour du mois de février, trop habituée aux mois de 30 et 31 jours 🙂 Une sorte de vrai bug de l’an 2000, mais 10 ans plus tard !

* Polémique Heavy Rain :
Sony avait « corrigé » Gamekult pour sa note jugée trop basse (de 6/10) attribué au jeu Heavy Rain, une correction qui s’était concrétisée par des coupes budgétaires de pub après négociations infructueuses. A savoir que d’autres sites (éditorialement moins indépendant) avaient cédés à la pression de l’annonceur en gonflant leur note ! Une pratique (hélas) ancienne qui perdure ! Le développeur du jeu, David Cage en remettait une couche sur son blog en assassinant Gamekult.fr et jeuxvideo.fr : en résumé, il trouve les notes trop basses et les tests pas argumentés (il est beaucoup plus méprisant sur son post!). Outre le fait que David Cage ne peut pas être objectif en étant juge et parti, se pose la question de l’indépendance de la presse quand celle-ci dépend d’annonceurs captifs (du même secteur). D’un point de vue consommateur, je mets donc 2 mauvais points : 1 pour David Cage et 1 pour Sony.

Voir l’émission et les commentaires sur Gamekult.fr.

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